Alzheipère
« Au travers de cette comédie qui bouleverse le cœur, on apprend que jusqu’au bout, la vie se vit et se rit. » Le suricate, Van Hoang.
C’est la comédie d’une vie qui se termine, d’une autre qui doit continuer ; d’une relation père/fils dans laquelle on ne sait plus très bien qui fait quoi ; d’un rapport qui s’inverse, ou pas, ou quand même si ; d’une maladie qui avance, d’une mémoire qui recule, d’un pilier qui se désagrège ; de 1000 km qui en deviennent 6000 ; d’une parole saisie, donnée, tenue ; de répétitions, de répétitions, de répétitions ; d’un trajet interminable entre Carcassonne et Bruxelles, entre la vie et la mort, entre le désespoir qui abat et le rire qui guérit ; entre les comédiens et les hommes qu’ils sont, entre la scène et le public.
Le tout confronte chacun à la fragilité de sa condition de mortel, même s’il est difficile d’élaborer une pensée forte, belle, définitive, poétique, intelligente et universelle dans la chambre froide d’un hôpital… Mais, contre toute attente, c’est drôle. Caustique, mais drôle. Et un peu politique, aussi, parce qu’il en faut.
À savoir : Le vendredi 9 novembre à 18h, profitez d’une rencontre gourmande avec Epicure avant le spectacle. Plus d’infos ici. Réservation obligatoire, places limitées.
Du | mardi, 6 novembre 2018 |
Au | samedi, 10 novembre 2018 |
Information | Relâche le 8 novembre |
Heure | 20:30 |
Durée | 1h30 |
Distribution | DE : |