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Exposition 2019-2020

Trois artistes se partagent la saison pour exposer leurs oeuvres

ANTONIN VAN DORSLAER – Septembre à décembre 2019

« Fasciné durant toute ma découverte de la photographie par le portrait et les nuages, je vous invite à voyager dans la rencontre de ces deux mondes :
Durant mon expérience, j’ai découvert que, à mes yeux, le portrait était socialement éprouvant car il faut maintenir soi-même le rythme du moment partagé entre le modèle et le photographe. A l’inverse, le ciel est un voyage sans pression où mon esprit a l’occasion de prendre son temps pour trouver le plus beau des nuages ou des paysages. »

« Tête ailleurs » est l’aboutissement d’un long cheminement, à me cher- cher à la fois photographiquement et personnellement. Après être passé par plusieurs choix différents, tels que la photo de mode, l’autoportrait et la photo de paysage, j’ai finalement opté pour le portrait.
Fasciné durant toute ma découverte de la photographie par le portrait et les nuages, je vous invite à voyager dans la rencontre de ces deux mondes…  »

https://dragoplouf.wixsite.com/winwin?fbclid=IwAR2l-qd6LdEXJ2hrtTxehim0_1yB1k3aZdy2uOpNn7P76pQSw1O7uTYM56w
instagram : https://www.instagram.com/timonlephotographe/?hl=fr

AURELIE OZELIE-MAYON – De Janvier à Mars 2020

Illustratrice et institutrice maternelle résidant à Namur, elle réalise sur commande des toiles et/ou fresques décoratives pour tout secteur touchant de près ou de loin à l’enfance désireux d’égayer un espace de vie avec une décoration personnalisée, durable dans le temps, unique et colorée.

https://www.facebook.com/aurelie.mayon

FREDERIQUE BIEBUYCK – Mars à juin 2020 // Reporté à la saison suivante en raison de la fermeture liée au Coronavirus
« Née au sein d’une famille où la dimension artistique se vit, se transmet et se partage au quotidien, imprime chaque mot de la tribu, chaque regard, chaque jeu d’une sensibilité à la fois créatrice et avant tout récréatrice, Frédérique, s’oriente d’abord vers le métier de photographe de publicité.

Elle aime ce côté technique, triturer les choses, y trouver la manière et la matière, mais s’inscrit loin de tout académisme, dans un spontanéisme inspiré, à la manière des surréalistes en quête de miracles quotidiens.
Dans cette fragilité audacieuse, puissante, elle trouve un second souffle, mais pour quelle place et quelle femme en elle ? Par cette démarche, éveiller des élans de spontanéité, elle se redessine, se recompose, transposant ce monde d’hier et d’aujourd’hui dans une recherche osée, fragile, permanente et joyeuse d’elle-même

Naturellement, elle va se tourner alors vers la peinture et le dessin, non pas de manière académique mais dans une démarche spontanée de recherche de soi, alliant ici son regard de femme et le besoin de transcrire dans le dessin et la couleur la passion spontanée de la recherche de soi, de femme. Elle s’inspire d’elle-même, de ce monde qui l’imbibe, qui l’inspire en permanence, qu’elle a besoin de toucher sans filtrage, dans une immédiateté inspirée. Dans sa démarche éveiller des élans de spontanéité, elle se redessine, elle transpose ce monde d’hier et d’aujourd’hui dans une recherche fragile et permanente d’elle même
Dans sa quête, c’est une vision poétique du monde qu’elle nous offre et transcrit au travers de ses tableaux, un jeu vibrant de formes et de couleurs, de rires et de vies qui s’appellent et se répondent. »