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Exposition 2021-2022

Trois artistes se partagent la saison pour exposer leurs oeuvres

MARIE-CLAIRE ISTASSE – Septembre 2021 à Décembre 2021

 

Istasse Marie-Claire, artiste pas- sionnée, capitalise une quinzaine d’années d’expérience à travers
la peinture acrylique. Longtemps autodidacte, elle étudie ensuite à l’Académie des Beaux-Arts de Namur. L’artiste explore l’univers de la femme, la magie du couple, l’innocence de l’enfant et la couleur des fleurs. Envolée de nus, étreintes, regards sur la vie, visages envahissant l’espace, dans le rythme du pinceau ou du couteau. Vibration d’émotions à la palette d’une sensibilité pleine de couleurs. Un regard sur l’art moderne figuratif évoluant vers l’abstrait. Toujours le sujet s’impose, avec ce besoin d’interpeller ou de faire rêver le regardeur, avec ce besoin de s’évader de ce monde matérialiste.

www.marieclaireistasse.be

 

ISABELLE DEMEY – Décembre 2021 à Mars 2022

Isabelle Demey née dans une famille d’artistes, montre depuis son enfance une envie de créer, de rêver, de vouloir se diriger vers des études artistiques. Ses parents l’orienteront vers une autre voie. C’est vers l’âge de 30 ans qu’elle fera un choix, enfin, s’inscrire à l’Académie des Beaux Arts pour un premier cursus en peinture suivi d’un second en dessin (ce dernier est encore en cours). Pas à pas, au fil des rencontres, des formations, elle remplit sa boîte à images. Elle aime expérimenter les collages, les encres, toutes ces techniques qui sont à sa portée et qui seront les outils nécessaires pour traduire ce monde silencieux, hors du temps qu’elle aime tout particulièrement. Elle nous emmène dans son univers sur des chemins, à l’ombre d’un arbre, près d’une maison presque disparue, toujours dans une atmosphère semblable à des songes lointains …

THOMAS CARYN – Mars à juin 2022

Considérant l’évolution de notre espèce comme une erreur de la nature, Thomas CARYN alias « TMSCRN » se plaît à photographier ces endroits libérés de toute oppression humaine où la végétation et les outrages
du temps y ont repris le dessus. De la centrale électrique en passant par la morgue et les blocs opératoires d’hôpitaux, de la petite ferme en passant par l’église du village… Il recherche, arpente et s’introduit dans ces lieux abandonnés mis en offrande sur l’autel de l’obsolescence. « No Visitors Beyond This Point », une réflexion sur le nombrilisme humain et sur cette supercherie montée de toutes pièces qu’est… le temps.

www.instagram.com/thomascaryn