Le jour où on mangera des sandwichs mous

Un spectacle fou que vous avez choisi !

En 1995, le Théâtre Jardin Passion a installé sa porte rouge rue Marie-Henriette. Depuis 30 ans, artistes, spectateurs et spectatrices, vous êtes tous et toutes là pour l’ouvrir et oser la rencontre, l’inattendu. Pour marquer cet anniversaire, on a souhaité un nouveau moment de partage, un moment qui vous appartient en vous laissant choisir la création Jardin Passion que nous allions reprendre. Il y a quelques mois, entre Marie-Tudor, La Passion de Victor Paléon, So long…à bientôt, Happy Family, Madame est partie, Le jour où on mangera des sandwichs mous, vous avez été nombreux et nombreuses à voter pour cet ovni théâtral. Alors, pour la quatrième saison consécutive, nous vous proposons de venir nous rejoindre autour de Le jour où on mangera des sandwichs mous.

De cette soirée, on peut juste vous dire qu’il faut vous laisser surprendre car l’équipe se joue encore une fois des codes théâtraux pour partager un instant où fiction et réalité s’entremêlent. On évolue ensemble, on se regarde, on se questionne, on vibre… Voilà une ode à la vie !
Si vous n’avez pas peur d’être désarçonnés, si vous avez envie d’écouter votre curiosité et de venir ressentir cette expérience théâtrale, vous êtes les bienvenus! La vie est une fête, profitons-en!

La presse en parle:
– Suricate – Christophe Mitrugno:
Comment décrire une pièce de théâtre qui nous a autant touchés sans pouvoir en parler ? C’était… On a vu… Et puis, on a vécu… Mais c’est surtout le moment où… Ou l’instant magique avec la…
Vous allez vivre une expérience unique, une fête de la vie, de l’amour, du théâtre. Sans pouvoir vous l’expliquer, la pièce emporte le public au-delà de ses espérances, de ses attentes et même de ses craintes. C’est un bouleversement émotionnel qui vient faire chavirer notre siège. Un spectacle unique, un théâtre merveilleux, une équipe fantastique.

– L’Echo – Eric Russon:
C’est une comédie douce-amère, d’un hymne à la famille, d’une ode à la vie qui passe, aux souvenirs, à ces moments où l’on vit le présent sans penser à cette épée de Damoclès qui pend au-dessus de nos têtes, à ce décompte, à cette horloge qui fait «tic tac» et nous attend, comme le chante Brel.
Au Jardin Passion, ce soir-là, après le spectacle, on a eu le sentiment d’avoir vécu quelque chose qui ne pourrait pas être reproduit le lendemain.